Ère nouvelle mythe  et  réalité

L'avènement d'une ère nouvelle Mythe et réalité.




Depuis des milliers d'années , des millions de fidèles attendent le retour d'un messie d'un Christ ….Quelque soit la religion, le paradis est toujours une promesse reléguée au futur.


La Bible parle d'une nouvelle terre et de nouveaux ceux , d'un retour du messie , ou encore d'un salut collectif.....

« Car je crée un ciel nouveau et une terre nouvelle  »(Esaïe 65:17 ).


L'arrivé d'un sauveur en ces temps troublés aura -t -il lieu, et à quel moment ?


Chaque grande Foi, chaque grande culture, chaque forme de tradition (vivante ou éteinte) aussi ancienne que la chute de l’Homme, lui en a donné Un. Dans la Vision de

Pathmos, les Chrétiens le considéraient comme le Christ « présent pour la seconde fois » ; non plus le prêcheur d’amour et de pardon, mais l’irrésistible chef d’une légion céleste de cavaliers blancs, dont le but était de mettre fin à ce monde coupable, et d’établir « un nouveau Paradis et une nouvelle terre », un nouveau cycle de Temps.


Le monde Musulman l’attend sous l’aspect du « Mahdi », qu’Allah enverra, « à la fin des temps » pour

tuer tous les démons au fil de l’épée. Dans les pays d’Europe, la tradition populaire distingue « Celui qui

doit revenir », soit sous les traits d’un roi, soit sous la forme d’une armée mystique et secrète. en Allemagne, nous reverrons certainement un jour l’Empereur Frédéric Barberousse, lorsqu’il se réveillera du profond sommeil dans lequel il est plongé depuis quelques siècles ; il reviendra sauver son peuple et lui rendre sa gloire. Au Danemark, Holger Danske dort, de la même façon et dans le même but, dans la montagne Kronborg. En Pologne, c’est « L’Hôte Dormant » des contes populaires. En Hongrie, Attila réapparaîtra sans doute un jour à la tête de l’armée de Csaba, porteur de la vengeance divine et promoteur de Justice.

Je pourrais aussi vous parler des religions Solaires d’Amérique Centrale, ou encore des centaines de

millions d’Hindous, qui, depuis un temps immémorial, lui donnent le nom de « Kalki », la dernière

incarnation de Vishnou, lequel, dans l’intérêt de la Vie, clôturera ce Temps et ouvrira un Temps nouveau.

(les trois cercles Kenneth Altmark ) .



LA NATURE : CLEF DE L' ENIGME



Au début de la saison de l'Inondation, peu après l'équinoxe d'automne, alors les nuits s'allongent, la crue venant du sud, enfle les flots du Nil afin, qu'en se retirant, la terre redevienne fertile, tandis qu'au même moment, venant du nord, pourrait-on dire à sa rencontre, les migrateurs s'abattent sur le Delta pour procurer abondance de gibier.

(LES OISEAUX MARQUEURS DU TEMPS :Dimitri MEEKS, C.N.R.S.).

PSAUMES 104 30 

Tu envoies ton souffle: ils sont créés , Et tu renouvelles la face de la terre .


ARRIVEE D  ADAM  : ARRIVEE D UN SAUVEUR ?


Lorsque les animaux arrivent ainsi que les nomades (ADAM ) , c'est le renouveau , la nouvelle année est donc liée à la venue des animaux et d'hommes migrateurs , symboles des âmes de l’au delà .


Ils constituent ainsi les SAUVEURS du Pays .


Ainsi à chaque début de cycles , le soleil se lève, et un sauveur l' accompagne , ainsi Adam/ Christ , âme venant du ciel vient pour sauver les hommes .

Ces âmes mortes vont devenir des âmes vivantes , c'est pourquoi il est écrit «  je leur donne le souffle et il devient une âme vivante »

Ces derniers vont les nourrir, car ces âmes n'ayant pu manger dans l’au delà arrivent dans le Pays affamées..

(note : le mot « bara » traduit par « créer » signifie en réalité « engraisser ») ;

A la fin de la saison , la Terre devient de nouveau stérile déserte, et c'est l' exode , la chute d'Adam, le pêché ….

JEREMIE 4 23

Je regarde la terre, et voici, elle est informe et vide; Les cieux, et leur lumière a disparu.

L'année suivante , les hommes consultent les astres , y voient leur sauveur (zodiaque ) .Ils arrivent ensuite sur terre aux nouvelles décrues du Nil.


C'est ainsi que nous avons cru à un salut obtenu par un seul coup de baguette magique , en excluant la responsabilité de l' homme.

Un salut pour un temps futur , mais jamais pour le présent , c'est ainsi que l'homme a confié sa destinée entre les mains d'une poignée d'hommes politiques et religieux.



Adam, Adapa et Tammûz étaient tous les trois, au choix, le soleil ou la planète Mercure


«Quand les dieux et les hommes étaient des planètes, des étoiles ou des constellations»

http://www.quand-les-dieux-et-les-hommes-etaient-des-astres.net/


Si l’on part du principe qu’Adapa, Adam et Tammûz étaient tous les trois, au choix, le soleil ou la planète Mercure, la planète concernée,tour à tour :

redescend sur terre, après être monté au ciel, sous le nom d’Adapa

chute sur la Terre, depuis un Jardin d’Eden situé au ciel, sous le nom d’Adam

meurt, en tant que soleil de printemps, sous le nom de Tammûz lorsqu’elle quitte le Taureau et les Gémeaux- et, au-delà, le Cancer - pour aller se mettre tour à tour dans le Lion, la Vierge et les autres constellations zodiacales, durant sa rétrogradation annuelle le long de la ligne de l’Ecliptique.

Le soleil ou la planète Mercure, sous le nom de Tammûz, meurt au moment d’aborder le secteur de l’Ecliptique dominée par l’Hydre.

Cette dernière, en effet, symbolisait la Mort ou le Mal absolu au motif que la période de l’année où elle se montre visible sur le planisphère céleste, correspondait, sur terre (on est là dans la Mésopotamie ancienne), à une chaleur étouffante,pour ne pas dire mortelle.


La notion de Messie / L’astronomie, discipline qui combinait la religion et la science, chez les Babyloniens, elle qui deviendra une science à part entière (et donc séparée de la religion) chez les Grecs

Pour en revenir à la notion même de Messie, cette notion n’est au départ ni grecque, ni égyptienne, ni juive, mais perse, et, au-delà, babylonienne.

Ainsi, quand Cyrus, qui adorait Ahura Mazda et se comparait probablement à Mithra, libère les Juifs captifs à Babylone et favorise la reconstruction du Temple, apparaît-il comme le Messie aux yeux des captifs libérés.

Dans la religion mazdéenne, le sauveur s’appelait Saoshyant et devait se manifester avant l’apocalypse ou le feu d’artifice final.

On aurait donc tort, après cela, de croire que Yahvé, le dieu national des Juifs, n’a strictement rien à voir avec les dieux païens issus des autres religions.

C’est oublier que toutes les religions de l’époque (y compris donc la religion juive) entretinrent un lien ésotérique avec le sabéisme.

Et là est le fait principal s’agissant du sabéisme : cette discipline, au lieu d’être une religion au sens moderne du terme, résulte d’une observation minutieuse du ciel et de ses étoiles par des gens qui en tirèrent des histoires de dieux et de héros absolument extraordinaires.

Qu’à partir de là, les théologiens de l’époque aient développé des théories très sophistiquées (lesquelles débouchèrent, avec le temps, sur le docétisme, le gnosticisme, ou quoi que ce soit d’autre), le fait est que le sabéisme repose, au départ, sur une observation minutieuse du mouvement des planètes et des astres au ciel. Et parce que les Grecs, avec leur esprit rationnel, vont échafauder, à partir des dites observations, de savantes théories sur l’origine de l’univers et sur le mouvement des astres au ciel, on assiste, dès cet instant, à l’éclatement du sabéisme primitif (qui était une religion, au départ, en ce sens que le mouvement des astres fut mis en corrélation, par les prêtres chaldéens et égyptiens de l’époque, avec la production des événements mondains - lesquels concernent principalement ici le devenir des hommes et des communautés fondées par eux), dès cet instant, disions-nous, on assiste à l’éclatement du sabéisme primitif entre d’

un côté la naissance et le développement d’une science de l’astronomie (au sens moderne du terme) dont l’origine se situe en Grèce, et de l’autre une religion qui, en s’éloignant de plus en plus du modèle primitif grâce à des raisonnements philosophiques toujours plus sophistiqués, ne saura plus que le mot Messie renvoie au mot hébreu Mashiah, et celui-ci à « l’onction dans de l’huile d’olive » de la part d’un soleil qui, avant de baptiser les autres planètes, était baptisé par Mercure quand les deux planètes stationnent, ou bien devant l’amas des Pléiades situées au début du Taureau, ou bien dans la Voie Lactée côté Taureau-Gémeaux, ou bien encore devant l’amas de la Ruche située dans le Cancer, lors de leur rétrogradation respective le long de la ligne de l’Ecliptique.

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